Adepte du javelot ascensionnel (sport à pratiquer depuis le fond d'un puits afin d'optimiser les performances), alcoolique et volage, le pasteur Oskar Huuskonen officie dans la paroisse de Nummenpää en Finlande.
Il sombre progressivement dans une perte de la foi irréversible et ses prêches s'en ressentent fortement au grand dam de ses supérieurs. Pour bien faire, il reçoit en cadeau pour l'anniversaire de ses cinquante ans, un ourson orphelin qu'il prénomme Belzeb.
Tandis que l'on assiste à la déchéance morale du pasteur, l'ourson s'humanise au fur et à mesure et devient un professionnel du repassage ou un barman hors pair (au bear bar: le Belze Pub notamment).
A la suite de nouveaux propos scandaleux, l'église décide de retirer la paroisse à notre pasteur et voilà Huuskonen et Belzeb obligés de prendre la route.
Ainsi commence l'épopée complétement délirante de nos compères de la Finlande à la Méditerranée (épopée ponctuée par les hibernations annuelles de Belzeb:essayez donc de trouver un endroit où creuser une tanière, de la renforcer et d'en faire un endroit douillet pour un ours d'une centaine de kilos...)
J'ai aimé la galerie de personnages décalés, drôles, humains et leurs façons d'être submergés par les événements.
La lecture entre les lignes malmène l'église et les conventions sociales.
Un moment de détente pour moi. J'ai eu le même ressenti pour "Désert américain" de Everett par exemple...
Tandis que l'on assiste à la déchéance morale du pasteur, l'ourson s'humanise au fur et à mesure et devient un professionnel du repassage ou un barman hors pair (au bear bar: le Belze Pub notamment).
A la suite de nouveaux propos scandaleux, l'église décide de retirer la paroisse à notre pasteur et voilà Huuskonen et Belzeb obligés de prendre la route.
Ainsi commence l'épopée complétement délirante de nos compères de la Finlande à la Méditerranée (épopée ponctuée par les hibernations annuelles de Belzeb:essayez donc de trouver un endroit où creuser une tanière, de la renforcer et d'en faire un endroit douillet pour un ours d'une centaine de kilos...)
J'ai aimé la galerie de personnages décalés, drôles, humains et leurs façons d'être submergés par les événements.
La lecture entre les lignes malmène l'église et les conventions sociales.
Un moment de détente pour moi. J'ai eu le même ressenti pour "Désert américain" de Everett par exemple...
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