L’Opéra de la lune
Dans « l’Opéra de la lune », Xiao Yanqiu partage le rôle principal de Chang’E avec Li Xuefen, son professeur de chant. Lors d’une importante représentation et alors que son talent atteint son apogée, Xiao refuse une remarque de Li afin de parfaire son jeu. De colère, Xiao envoie un liquide brûlant au visage de Li, provoquant de ce fait un esclandre, l’opéra ne sera plus joué.
Vingt ans ont passé. Xiao s’est mariée avec Joufflu, a une petite fille et est devenue professeur de chant. Elle suit l’évolution de sa meilleure élève : Chunlai.
L’ancien directeur de théâtre de Xiao, Bingzhang, rencontre alors un PDG, mécène, dont le seul souhait est de revoir sur scène la fabuleuse Xiao en Chang’E.
Xiao reprend le travail mais vingt ans ont passé…
J’ai été très touchée par ce roman sur la relation passionnelle de l’artiste avec son art (ici, l’opéra chinois). Comment la passion peut s’avérer dévorante au risque de perdre pied avec la réalité et se fondre dans une image du monde… Une très belle écriture !
En avant-propos, Bi Feyiu explique le sens des personnages principaux de l’opéra chinois, l’équivalence des couleurs dans la symbolique, la composition de l’acteur. Tout au long du roman, le jeu de l’acteur est abordé puisque Xiao recherche la perfection. Vraiment intéressant.
Extraits :
P 62 : « Une femme n’est pas le résultat d’un processus physiologique de croissance, maturation, mariage, maternité et allaitement. Une femme, c’est avant tout une femme. On n’apprend pas à être une femme et on ne peut pas non plus, si on en est une, échapper à son état. Le rôle de Quingyi, c’est la femme insaisissable, la femme parmi les femmes, la femme à l’état pur. »
P 110 : « L’être humain est son propre ennemi. Son désir profond n’est pas d’être un humain mais de devenir un immortel. »
Dans « l’Opéra de la lune », Xiao Yanqiu partage le rôle principal de Chang’E avec Li Xuefen, son professeur de chant. Lors d’une importante représentation et alors que son talent atteint son apogée, Xiao refuse une remarque de Li afin de parfaire son jeu. De colère, Xiao envoie un liquide brûlant au visage de Li, provoquant de ce fait un esclandre, l’opéra ne sera plus joué.
Vingt ans ont passé. Xiao s’est mariée avec Joufflu, a une petite fille et est devenue professeur de chant. Elle suit l’évolution de sa meilleure élève : Chunlai.
L’ancien directeur de théâtre de Xiao, Bingzhang, rencontre alors un PDG, mécène, dont le seul souhait est de revoir sur scène la fabuleuse Xiao en Chang’E.
Xiao reprend le travail mais vingt ans ont passé…
J’ai été très touchée par ce roman sur la relation passionnelle de l’artiste avec son art (ici, l’opéra chinois). Comment la passion peut s’avérer dévorante au risque de perdre pied avec la réalité et se fondre dans une image du monde… Une très belle écriture !
En avant-propos, Bi Feyiu explique le sens des personnages principaux de l’opéra chinois, l’équivalence des couleurs dans la symbolique, la composition de l’acteur. Tout au long du roman, le jeu de l’acteur est abordé puisque Xiao recherche la perfection. Vraiment intéressant.
Extraits :
P 62 : « Une femme n’est pas le résultat d’un processus physiologique de croissance, maturation, mariage, maternité et allaitement. Une femme, c’est avant tout une femme. On n’apprend pas à être une femme et on ne peut pas non plus, si on en est une, échapper à son état. Le rôle de Quingyi, c’est la femme insaisissable, la femme parmi les femmes, la femme à l’état pur. »
P 110 : « L’être humain est son propre ennemi. Son désir profond n’est pas d’être un humain mais de devenir un immortel. »
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